mercredi 6 janvier 2010

Conclusion

Au cours de ce travail personnel encadré, nous avons pu remarquer l’importance de la vitesse lors d’une chute libre. En effet, celle-ci atteint des valeurs proches de 206m/s. Cette vitesse est bien entendu trop élevée pour un atterrissage, donc irréalisable. Ce cas là ne se présente que lorsqu’il n’y a pas d’air, ce qui est impossible sur Terre. Nous avons donc calculé les vitesses accessibles sur Terre. Nous obtenons ainsi des vitesses beaucoup plus raisonnables telles que 45m/s sans combinaison et 23m/s avec le fameux Wingsuit. En volant, nous avons découvert que la vitesse, sur la trajectoire, était de 33m/s. Dans ce cas la vitesse verticale, pour une finesse de 4 est de 8 m/s. 33m/s est bien entendu une vitesse trop importante pour atterrir sur un sol horizontale. Nous en avons donc déduit que si le sol était incliné avec le même angle que la trajectoire du professionnel, il pourrait peut-être se poser sur cette pente. Mais, dans ce cas, il risque de nombreuses brûlures dues aux frottements. C’est pourquoi, nous avons énoncé plusieurs idées telles que:

- un train d’atterrissage,

- piste de ski,

- piste incliné,

-…

Ces techniques de train d'atterrissage et de skis seraient beaucoup moins visibles qu'un parachute, ce qui peut s'avérer très intéressant, pour l'armée par exemple. De plus, on pourrait atterrir sur différentes pistes inclinées : une route rectiligne en pente ou une piste de ski... Mais elles rajouteraient beaucoup de poids au système et seraient difficiles à réaliser. Cependant, il est toujours intéressant d'essayer.

Enfin, les calculs ont été réalisés dans des conditions idéales. Nous préfèrerions laisser à d’autres le privilège d’essayer ce type de solutions !

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